Regarder. 2002 (sorties classées par ordre chronologique décroissant) dénivelé cumulé : 23000m
18 depuis
le col de Gleize le 24/11/02 Toute
petite balade sans difficultés. L'occasion
de dire qu'il a encore beaucoup neigé en
montagne cette nuit, avec une limite oscillant
entre 1800 et 2200m, d'où une neige humide
jusque vers 2300m. Les conditions en altitude
ressemblent (toutes proportions gardées)
à celles de l'automne 2000. Gleize n'est
plus skiable depuis la bagnole mais seulement
au-dessus de 1800m. Avec Virginie, Nico,
Valérie, Juliette, JC, Anne-Sophie, David,
Katell, Serge, Damien, Céline, Joël et
Rémi qui gravit là son premier sommet
à l'âge de deux mois et
demi. 17 traversée
le 10/11/02 Depuis
la station de Chaillol, montée par le
sentier de Clémens jusqu'au col de la Pisse.
De là, nous avons suivi les arêtes
vers l'ouest. La balade passe par le point
côté 2387 puis par la pointe du
Lingustier jusqu'au col du Viallet. On
réalise une boucle intégrale avec
redescente par le sentier versant sud
jusqu'à Chaillol. Un passage rocheux
aérien peut nécessiter une corde sur
l'arête. Le reste est sans histoires.
Très belles vues, belles couleurs, et grand
beau temps alors que 10km au nord, tout
était dans la daube. Du Dévoluy
à l'Oisans et probablement jusqu'aux Alpes
du nord, pluie et neige étaient de rigueur.
Bonne idée de boucle qui reste toujours
en-dessous de 2400m d'altitude.
Dénivelé total : 900m.
Difficulté : F. Avec Valérie PDS. A
noter que si le beau temps était la bonne
nouvelle du jour, les Alpes du Nord continuent de
creuser l'écart avec le sud en
quantité d'enneigement. 16 par
le col de Méollion le
24/10/02 Grande
randonnée au départ des Borels
(vallée de Champoléon). Montée
par Méollion puis le col de Méollion.
Passage délicat avant le col : terrain
très glissant avec schistes
acérés recouverts de 30 cm de neige
humide. Pas de glissade ! Du col, j'ai suivi
l'arête vers le sud-est jusqu'à un
têton d'où l'on peut redescendre
versant nord vers le replat des Sagnes : neige
froide dans la face (20 cm à 2200 avec une
fine couche gelée dessous, 50 cm voire plus
avec accumulations en haut de la pente - 2500m -
sur une sous-couche humide). Du replat des Sagnes,
retour par le sentier de la cascade de Prelles (un
peu escarpé) et l'interminable vallée
de Champoléon jusqu'aux Borels. Environ 20
km de distance pour un total de 1350m de
dénivelé. Couleurs magnifiques,
très beau parcours alpin de
difficulté F. Le
hameau de Méollion puis, du col
homonyme, la vue plongeante sur le vallon
de Prelles et le lac des
Sagnes. 15 Traversée
le 07/10/02 Randonnée
réalisée après la classe et
avant la nuit. Départ de
Saint-Léger-les-Mélèzes
(approche en voiture par la piste verte jusque vers
1700m) et montée par les Dents (arête
ouest). Un passage aérien sous les Dents
mais avec bon sentier cablé. La fin se
déroule sur une sente plus ou moins
marquée (cairns) le long de l'arête
ouest ou sur son flanc sud. Au sommet, panorama
exceptionnel du Dévoluy aux Ecrins en
passant par la Blanche. A noter que le soleil se
couche à cette époque à 19h10
heure d'été dans le Champsaur.
Redescente par la petite face nord (cairns jusqu'au
col de la casse du Diable puis bon sentier). On
recoupe la face nord jusqu'à une bifurcation
où l'on peut continuer à traverser
toute la face et rejoindre l'itinéraire de
montée. J'ai préféré
prendre le sentier du bas qui permet de faire une
boucle intégrale en passant par la Lauze
(passage exposé cablé en bas du grand
couloir nord). Très belle balade, du domaine
de la randonnée sportive.
Dénivelé approximatif : 750m.
L'automne commence à virer dans de belles
teintes. Prévoir une frontale pour le
retour. Bois
de mélèzes en montant
à l'Autane et coucher de soleil
depuis le sommet. 14 depuis
le Croz le 06/10/02 C'est
la randonnée classique versant est.
Commencée sous le soleil, finie sous la
pluie, avec Maud Colin. La balade emprunte un bon
sentier (glissant pour la partie terminale),
à faire en aller-retour ou en variant pour
la partie inférieure par le sentier du col
de Porte. Dénivelé de 700m environ.
Au sommet, nous avons rencontré Arnaud et
Laurent, venus également se balader dans le
secteur avec leurs amis Sophie et
Vincent. 13 Traversée
le 08/09/02 Circuit
au départ de Molines-en-Champsaur. L'endroit
est toujours aussi sauvage ; pas un seul randonneur
rencontré. Montée par le versant
ouest puis traversée versant est sur
Peyron-Roux. Le sentier est étroit mais bien
tracé tout le long. Peu dangereux par
terrain sec. Sans celui-ci, il serait bien
difficile de s'aventurer dans le coin. Le terrain
est typique de l'Oisans : pentes herbeuses raides,
barres, montagne très accidentée.
Dénivelé : environ 1150m. Avec Maud
Colin. 12 Boucle
versant sud le 07/09/02 C'est
une boucle qui part de l'Esparcelet par un sentier
en direction du Serre de l'Aigle. Au delà,
c'est du terrain à chamois assez
casse-gueule avec une distance non
négligeable jusqu'au col. Balisage rouge pas
toujours présent (au début puis
à la fin) avec une section médiane
exposée. Au retour, nous sommes descendus
par un autre cheminement (plus facile et
balisé intégralement) qui longe la
crête de Chamousset avant de piquer plein sud
pour rejoindre une sente ramenant à
l'Esparcelet. Ce circuit est indiqué
(pointillé rouge) sur la première
édition de la carte TOP25 du Champsaur mais
absent de la deuxième. A raison car la
montée ne fait pas partie du domaine de la
randonnée. Superbes vues. Bel
itinéraire qui suit les lignes de faiblesse
du terrain. Observation de l'aigle royal et d'une
perdrix bartavelle. La météo n'est
toujours pas au grand beau avec un temps couvert
dès la mi-journée.
Dénivelé : au moins 1200m (nombreuses
redescentes). Avec Maud Colin. Difficulté de
la balade : F. 11 Traversée
le 27/08/02 Ouf
! Il s'en est fallu de peu. A quelques jours de
déménager de l'Embrunais, je n'avais
toujours pas mis les pieds sur ce sommet
emblématique de la vallée, le
cinquième (avec le Morgon, le Méale,
le mont Orel et les aiguilles de Chabrières)
belvédère de Serre-Ponçon. Ce
sommet historique vit arriver en 1897 le lieutenant
Widman, à skis, parti depuis Embrun pour
tester ce moyen de déplacement qu'il pensait
(avec raison) être le plus efficace sur la
neige. Je suis monté par la chapelle des
Seyères puis j'ai traversé toutes les
crêtes jusqu'à l'Arpion (2671m).
Descente sur le lac de l'Hivernet et retour par le
sentier de l'Aiguille. Pas de difficulté
particulière. Un peu de hors sentier sans
histoire. Très belles vues sur l'Embrunais.
Dénivelé total : 1200m. 10 Circuit
de Praveyral le 05/08/2002
Un très bel itinéraire
improvisé ce jour avec Maud Colin :
accès en voiture par la piste
forestière qui part de Praveyral
(Crévoux) jusque vers 1700m, montée
par sentier, d'abord versant nord puis par la
croupe ouest : paysages somptueux. A la descente,
nous avons emprunté directement la combe
nord qui retombe sur le route forestière
où était la voiture. Pas de
problème pour cette descente où l'on
trouve soit du terrain facile (prairies), soit des
sentes lorsque la végétation est un
peu plus haute. L'été est toujours
à côté de ses pompes : temps
orageux couvert (qq rayons de soleil) et vent
d'ouest froid assez fort au sommet.
Dénivelé total : 750m. 9 le
03/08/2002 Balade
de fin de journée depuis la maison de
Fontfreije lors des "traditionnels" week-ends dans
ce cadre enchanteur. La croix des glacières,
c'est le point le plus à l'est de la
chaîne de la Sainte Baume, peu
fréquenté et pourtant si sympathique.
Des voies d'escalades sont équipées
sur spits dans le secteur. La température
etait assez fraîche : 25°C à
Fontfreije alors que dans le même temps, on
avait 32°C à St Maximin. Le versant
nord de la Sainte Baume est donc propice aux
randonnées même à la belle
saison. Avec Maud Colin, Nathalie Morand, Julie Rey
et Joël Crose. 8 le
21/07/2002 Un
petit tour dans le Parpaillon par un temps douteux
au départ (qui s'avèrera finalement
bien agréable). Montée en voiture par
la route (carrossable jusqu'au tunnel) et park vers
la cabane de Jaffueil. Montée au col de
Girabeau (belle vue sur l'Embrunais) puis à
la Ratelle par son arête sud. Superbe
prairies de fleurs. J'ai continué
jusqu'à la montagne Pellat (arête sud,
cotation F à PD selon le passage, terrain
chamois instable) avec redescente par le couloir
sud-est. Je ne pensais pas mais il y a moyen de le
skier intégralement depuis le sommet. En
remontant le couloir, ne pas sortir à son
sommet mais juste avant, tirer à droite et
terminer par 30m de pentes plein est. Cotation
probable : 4.1/E2 (3.3 ? ). A peine plus difficile,
la face sud-est (à gauche orographique du
couloir) passe également (4.1 ou 4.2
probable). Décidemment, à pied comme
à skis, le Parpaillon est un coin
très intéressant. Avec mes parents,
Rolande et Bruno Tassan. 7 le
20/07/2002 Une
petite randonnée dans le Queyras avec mes
parents dans le secteur d'Abriès.
Départ d'Abriès, montée par le
GR au hameau de Malrif puis jusqu'à la
passerelle des Bertins. Retour par la chapelle du
Tirail où nous avons rencontré
l'équipe de Queyras-Passion, menée
par Philippe Barbero et Jean Schoenenberger,
toujours affairée à la restauration
du patrimoine queyrassien. Bravo les gars et
à bientôt ! Pour la balade, le cadre
est toujours aussi sympa et bucolique, et loin des
hordes de citadins. 6 le
02/07/2002 Montée
à cette cabane perchée sur un
véritable promontoire qui domine la
vallée pour essayer de skier qq belles faces
(voir rubrique ski avec l'Hohberghorn).
Juste un mot pour dire que c'est un petit palace
avec des gardiens bien sympathiques. Le sentier
d'accès original n'est plus utilisé
pour cause de chutes de pierres. La voie remonte
maintenant une arête sur près de 500 m
de dénivelé. Tout est
équipé (cables, échelle et
échelons surtout) et ça resseble
à une via ferrata facile où l'on n'a
pas besoin de se longer. Dénivelé :
1000 m si l'on emprunte préalablement le
télécabine du Hannig. Sinon, il faut
rajouter 500 m depuis Saas Fee. Difficulté :
F 5 circuit
le 01/06/2002 Je
suis parti de Montfort (Crolles), de la gare de
départ du Funiculaire, pour faire la via
ferrata de la cascade de l'Oule.
L'itinéraire "difficile" du Grand
Dièdre est athlétique et vertigineux.
Je pense qu'on aura quelques beaux bouchons aux
heures d'affluence là-dedans. A la sortie
sur le plateau des petites Roches, je me suis dit
qu'il fallait continuer la balade jusqu'au sommet
de la Dent. Je suis donc monté par le pas
des Terraux puis par le pas de l'Oeille. Il y en a
pour tous les goûts : grimpeurs, randonneurs,
parapentistes... Au sommet, dans une logique de
circuit, j'ai enchaîné avec les
crêtes jusqu'au pas de Rocheplane (passage de
la cheminée de Paradis sans
difficulté même pour randonneurs). De
là, descente sur St Hilaire et retour sur
Crolles par le sentier du Pal de Fer. On
réalise ainsi une boucle esthétique
et déjà d'une certaine ampleur
(Dénivelé : 2100m). Une bonne
idée de circuit ! 4 (Chartreuse) le
06/04/02 Petite
ballade pour dire qu'encore une fois, on prend les
randonneurs pour des veaux. 1h sur les panneaux
alors qu'il ne faudrait même pas 30 minutes
pour un handicapé. Faut quand même pas
exagérer. Il est donc possible que les
horaires des autres ballades du coin soient
également exagérés (deux fois
trop long pour un randonneur "normal"). A noter que
le pas du loup dont le sentier est clairement
indiqué sur les cartes, n'est pas
balisé. Un arrêté municipal en
interdit le passage suite à des
éboulements. En parcourant mon site, vous
devriez avoir une idée sur mon point de vue
là-dessus ... 3 (Alpilles) le
10/02/02 Balade
de l'après-midi avec mes parents, Rolande et
Bruno Tassan, qui me donne l'occasion de m'exprimer
sur le beau travail du conseil
général des Bouches-du-Rhône
pour le balisage des sentiers de randonnée.
C'est propre et bien fait avec des panneaux en
bois. Deux remarques simplement sur le contenu fait
d'indications de directions accompagnées
d'horaires. Tout d'abord, ces horaires sont
donnés à la minute près !! Il
me semble que déjà qu'il s'agit d'une
donnée arbitraire, des fourchettes de 15
minutes sembleraient amplement suffisantes. D'autre
part, cela ne me paraît pas judicieux car
nous sommes sur du terrain où l'on
dénivelle peu. La progression est donc
sensiblement homogène. Pourquoi ne pas avoir
mis des distances ce qui permettrait à TOUS
les pratiquants (marcheurs lents, rapides,
coureurs, VTTistes...), connaissant leur vitesse de
croisière de se faire une idée ?
Inversement, en Isère sur Belledonne, le
Conseil Général a posé des
panneaux tous neufs indiquant les... distances
à parcourir en kilomètres, alors que
le terrain est escarpé. Là, il aurait
fallu encore une fois des indications
concrètes comme le dénivelé
à parcourir voire l'horaire mais surtout pas
le kilométrage. On voit bien que les gars
qui ont travaillé sur le projet sont plus
souvent dans un bureau que dans la nature
! 2 (Parpaillon) Arête
NO depuis la Coche le 16/01/02 Jolie
randonnée avec de très belles vues
sur la vallée de la Durance.
Réalisée ce jour en baskets ! Un peu
de neige mais ça passe sans souci. La route
de la Coche monte jusqu'au terminus
d'été sans problèmes.
L'itinéraire suit l'arête et termine
flanc nord (cairns), aérien en haut mais
sans difficultés. Avec Cécile
Ghione. 1 (Ubaye) Versant
sud par les vie ferrate de St Ours le
12/01/2002 Départ
de St ours, montée par la via ferrata de
l'aiguille de Luce puis traversée de la
passerelle vers la via ferrata de l'aiguille du
Coq. Ensuite, par une sente (marques rouges) on
monte vers le pied de la tour d'août
où est équipée la via ferrata
de la tour d'août, sûrement une des
plus "difficiles" des Alpes françaises :
raideur très soutenue et échelons
assez espacés, déconseillée
aux débutants. A la sortie, on tire à
gauche sur une croupe et par elle on monte au
sommet de la Courbe, toujours en baskets !
(déniv 450m quand même depuis la
sortie). Nombreux chamois aux étages
supérieurs. A la descente, j'ai
terminé par la via ferrata de l'Ourson, peu
difficile mais ceci est déconseillé
dans ce sens lorsqu'il y a affluence de
"ferratistes", c'est à dire en pleine
saison. Déniv : 1300m.
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